Last Updated on 4 jours by Bertrand Bret
Il y a des dates dans la vie d’un libertin qu’on n’oublie pas… Pour ma part, le 25 avril 2025, date du premier gang bang de ma soumise Audrey. Après le succès de la réalisation de son fantasme, il était temps pour nous de nous retrouver. Pas une, mais deux dates bloquées. Avec pour chacune d’entre elles, un copieux programme. Et comme lors de sa première pluralité masculine, j’avais négligé son délicieux séant, j’y focaliserai donc toute mon énergie. Anus Sanctus, gloire à l’anal. Mais certaines questions restaient en suspens : quelle serait la tenue portée par Audrey ?, quid de son endurance ?.

Anus Sanctus ou l’art de la préparation
J’avais acheté un joli rosebud à ma soumise, que je lui avais remis lors de son gang bang. Je lui demandai donc de se présenter au rendez-vous avec le bijou en place. Ma soumise en possédait déjà un, mais ce dernier était trop petit. D’ailleurs, elle me confia qu’elle avait manqué à plusieurs reprises de le perdre. Aussi une taille M s’avéra donc un choix plus judicieux. Comme à son habitude, ma soumise se présenta au rendez-vous avec un respect total de la ponctualité. Qualité que j’appréciais chez elle. Puis, elle partit à la salle de bain, quand elle en ressortit, je fus de nouveau scotché par son ensemble… Cette fois-ci elle portait une blouse d’un érotisme torride : les seins à peine masqués, le ventre nu, les fesses à l’air.
Comment ne pas être excité par ce bout de tissu minimaliste et surtout, comment ne pas avoir terriblement envie de celle qui le portait ?. Quant à la préparation, elle consistait bien évidemment également dans le choix de lubrifiants adaptés… En effet, le programme prévoyait trois heures de sodomies.

Le début des fes(ses)tivités
A l’heure où j’écris cet article, je me remémore avec un malin plaisir le pêché mignon de ma soumise : l’irrumation, ou l’art de la gorge profonde… Audrey, au fait de ce rituel, exécuta une première gorge profonde, dès son arrivée, puis une autre au sortir de la salle de bain. Et je constatais avec joie et surprise ses évidents progrès dans ce domaine. En à peine un mois, le résultat était spectaculaire. Mais place au thème central de cet article et de cette pratique qui fait fantasmer ou pas. Il était indéniable que ma belle soumise avait peur, peur de ne pas être à la hauteur, peur de son manque d’expérience. Mais aussi peur des jeux de dilatation. Cependant, pour la tranquilliser, et la rassurer, je décidai de ne pas sortir immédiatement l’écarteur anal.
Puis j’ordonnai à ma soumise de se positionner en levrette, et je commençais à lui prendre ce cul qui m’appartenait. Une évidence s’imposa vite à moi : il me fallait contrôler, et retarder au maximum ma jouissance. Exercice délicat pour moi qui avait l’habitude des rapports protégés…

Anus Sanctus ou le festival de jouissances
Lors de cette séance anale, véritable marathon sexuel, je me devais de diversifier au maximum les positions. Je la positionnai sur le dos, plaçai un oreiller sous son dos, lubrifiai et mon sexe, et son fondement, pour enfin la prendre profondément. Ma soumise jouissait, aidée de son vibromasseur. Parée de son magnifique collier de soumise, je l’étranglais , pendant que mon sexe tout entier allait et venait au plus profond de son intimité. Lors du débriefing d’après séance, Audrey me confia avoir tout particulièrement aimé, et cette position, et l’étranglement. Ma soumise en était déjà à sa deuxième jouissance, après celle où elle s’empala sur mon sexe. Quant à moi je jouis rien moins que trois fois, dont une d’une extrême intensité : Audrey en levrette, le bâillon boule dans la bouche. Mon plaisir vint quand je croisai le regard de celle qui s’abandonnait dans le plaisir d’être ainsi malmenée.

Anus Sanctus ou les jeux de dilatation anale
Puis vint le moment que ma soumise redoutait par dessus tout : le jeu de dilatation. Je disposais d’un écarteur cranté, ainsi qu’un jeu de baguettes chinoises. Mais force fut de constater que ma commande de baguettes ne me donna pas satisfaction du tout. En effet le bord pas assez arrondi, risquait par conséquent de blesser Audrey. Donc je fus dans l’obligation d’abandonner l’idée… Mais le cul de ma soumise était suffisamment préparé par ces heures de baise intense, et par l’astreinte du port du rosebud. Astreinte que j’imposais à la jeune femme à chaque session de télétravail. Une à deux heures par semaine, depuis le 25 avril. Comme je ne suis pas le genre d’homme à manquer de ressources, j’utilisais donc l’écarteur.
En levrette, j’insérais délicatement l’objet dans le préservatif, puis je réglais la molette au maximum de ce que pouvait tolérer Audrey, qui ce jour-là n’eut même pas besoin d’utiliser ni son slow word, ni son safe word.

La séance photographique hautement érotique
Ce dernier chapitre devait en fait être le premier, puisqu’avant cette formidable séance, nous avons eu le privilège de poser pour un artiste photographe. FM Numa nous a régalé pendant plus d’une heure, et le résultat est à la hauteur de nos espérances. Ces photos résument à elles seules l’intensité sexuelle et érotique de ce 13 mai 2025. Et que dire de notre complicité, du maître et de sa soumise.
La suite des aventures de maître Bertrand & de sa soumise ultime, très bientôt sur vos écrans 🙂
Crédits Photos : © Gang Bang à Paris