Candaulisme et ses joies1 min de lecture

Les joies du candaulisme

Last Updated on 4 ans by Bertrand Bret

Isadora est un chef d’œuvre, celui de la grâce, la féminité, la beauté … Quant à son compagnon Marc est adepte du candaulisme. Mais pour bien peindre, il faut un lieu d’exception, et un écrin qui l’est tout autant. Il faut aussi un peintre de génie. Or tout était réuni en ce soir de Printemps, car Le chef d’œuvre, personnifié par Isadora, l’écrin par cet endroit merveilleux, et le peintre, par ce génie de la photo.

La puissance du candaulisme : jouir à travers l’autre

Comme à mon habitude, j’étais en avance pour les accueillir. Accompagné de cinq hommes, tous éblouis par la grâce de la jeune femme. Les heures passaient à une vitesse folle, et nous étions dans ce tourbillon de finesse et d’élégance. Il est donc des soirées où les choses se passent d’une telle façon que le temps semble arrêté à tout jamais. J’en suis encore bouleversé en rédigeant ce texte … Quant à Marc, le compagnon de la danseuse étoile, il jouissait à travers elle, ou plutôt au travers de ce qu’elle lui offrait. Pour notre part, nous étions fiers de donner du plaisir à un couple, dont c’était la première expérience. Isadora et Marc partirent ravis, et nous firent la promesse d’un prompt retour.

Le candaulisme ou les saveurs Parisiennes

Le libertinage de qualité

Dieu qu’il est bon de s’amuser dans ces conditions. Comment voulez vous que nous refermions ce grand livre de souvenirs que nous avons commencé à rédiger en 2002, cela nous est impossible. La recette est simple : de beaux endroits, des hommes élégants et joueurs. Enfin l’essentiel un beau couple et un organisateur qui connait les codes…

A la question, souvent posée : « quelle est la plus belle soirée jamais passée ? ». Nous répondons sans hésiter : la prochaine sans aucune hésitation. Et vous, êtes vous aussi de notre avis ?.

Crédits Photos : © Gang Bang à Paris

2 réponses

  1. Pour ma part j’ai du mal avec ce mot : « candauliste ». Je ne me considère pas comme tel. Arrivant du Bdsm, cela ne correspond pas à notre vision du libertinage. Là où certains y voient une femme offerte, nous y voyons des hommes offerts, des étalons, des jouets pour femmes ou encore entre nous, des « queues sur pattes ». Le plaisir se fait dans le couple par la complicité sans faille que nous avons. Car contrairement à moi, la plupart des hommes présents, pour ne pas dire tous, ne pourraient pas voir leurs femmes se faire prendre par d’autres hommes. Le nombre de mâles qui viennent tirer un coup en douce de bobonne, et repartent les bourses vides sans aucune connaissance des valeurs libertines et Bdsm devient pesant.

    Nous ne trouvons plus ce que nous avions pu vivre antérieurement. Chez nous, la femme est mise en avant, elle est LA reine de la soirée et j’aime la voir diriger son petit monde de mâles du haut de ses 163cms. J’aime la voir choisir qui pourra éjaculer dans sa gorge en guise de remerciement pour celui qui l’aura bien baisé. Ou encore mettre sur la touche la grande gueule du groupe qui parle beaucoup et ne bande jamais.

    Nous avons notre façon de jouer. Et sans cet echange complice, il n y aurait pas de jeu. Cela marche donc obligatoirement dans les 2 sens.

    Je ne suis pas un mari candauliste, je suis un Maître qui récompense sa soumise par des « gentlemen fuckers ». En êtes-vous ? 🙂

    1. Salut Paddy, tu me permettras de répondre à ton commentaire…

      La définition du « candaulisme » te concerne forcément aussi 🙂

      C’est une personne qui ressent de l’excitation en exposant ou partageant son conjoint à une ou plusieurs autres personnes…

      A moins que pour ta part, tu n’éprouves aucun plaisir à la partager…

      Pour le reste sache que les membres de mon groupe ou moi-même avons déjà « offert » plusieurs complices femmes à d’autres hommes. C’est d’ailleurs sans doute la différence entre les vrais libertins et les autres…

      Libertinement,

      Bertrand

Laisser un commentaire