Après avoir alimenté la cérébralité de ma soumise Papillon, vint le jour tant attendu. En effet après une prise en main laborieuse, j’organisai enfin la deuxième séance bdsm de la jeune femme. Cette fois-ci je me rendis à la boutique Demonia, afn d’acheter la plus belle des tenues, celle de la soubrette. Aussi, je la contemplai, elle était tout en vinyle. Et je ne pus contenir une légitime érection, au moment du passage en caisse, en imaginant le sexe trempé de Papillon, dans son habit… Mais cette soirée devait être pleine de surprises, car je prenai un malin plaisir à brouiller les pistes. Et ce, malgré les questions journalières de Papillon qui cherchait à connaître le programme de sa séance.
La soubrette notée sur la préparation du repas
Papillon arriva à l’heure mais sans maquillage, raison pour laquelle son maître décida de lui administrer une première punition !. Malgré cela, même sans maquillage, je la trouvai particulièrement en beauté. Pour autant, ma soumise n’avait pas oublié d’être joueuse, puisqu’elle me provoquait sans cesse, en faisant exprès de se pencher en avant. Mais elle savait que sa deuxième séance serait copieuse, car elle devait dans un premier temps me confectionner un repas avec les ingrédients imposés. Néanmoins, je sentis Papillon concentrée, et disciplinée, tant sa volonté de bien faire était évidente. Et, en un rien de temps, elle me confectionna un délicieux repas…
Atelier numéro 2 : le dressage de table
Je pris place à un bout de la grande table en verre, Papillon, quant à elle se plaça en face de moi, les cuisses bien écartées. Donc, je me délectai de la vue de ses lèvres qui ne demandaient qu’à s’écarter sous mes puissantes pénétrations. Mais avant cela, j’observais le comportement de la soubrette d’un soir, sa posture à table. Mais aussi, sa façon de manger, de porter ses aliments à la bouche. Et, comme à mon habitude, rien ne m’échappait. D’après ce constat, la note de Papillon baisserait sans doute, car ma soumise était distraite, donc moins concentrée. Autrement dit, elle laissa tomber quelques bouchées… Allais-je pour autant la punir ?
Atelier numéro 3 : le cours d’éducation sexuelle
A ce stade de la soirée, point de punition pour soumise Papillon. Mais pris d’une légitime envie, je baisai copieusement cette dernière sur le canapé, tout en délicatesse tout de même…Afin de ne pas mettre à mal l’endurance de la jeune femme. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises, puisqu’elle croyait grâce aux nombreux indices envoyés par mails que son professeur d’éducation sexuelle était un homme… Pourtant il n’en fut rien, et soumise Papillon se plaça comme prévu, sur son coussin, derrière la porte d’entrée. Ses yeux parés de son loup rouge. Enfin à 21 heures trente précises, Esmeralda sonnait à la porte, sans un mot, comme nous l’avions convenu, elle fouillait la bouche de Papillon, puis ne tarda pas à trouver ses marques.
Puis, je laissai jouer ces deux femmes entre elles, de longues minutes, le temps comme arrêté, je devenais voyeur et branleur… Combien d’hommes auraient aimé être à ma place…
La conclusion de la soubrette :
Comment décrire en quelques mots la volupté et la sensualité qui se sont dégagées de ce dernier cours particulier ?. La première partie de la soirée m’a permis de prouver que je pouvais être une parfaite soubrette, capable de cuisiner et de dresser la table (aussi bien que les sexes). Malgré tout, j’ai encore beaucoup à apprendre et c’est pour cette raison que mon Maître avait organisé cette soirée, accompagné de mon professeur particulier.
Pensant que mon professeur était un homme, qu’elle ne fut pas ma surprise quand mon Maître m’annonca que c’était une femme, ce qui ne m’a pas découragé, loin de là… D’autant que mon professeur n’était autre qu’Esmeralda, une femme avec qui j’avais déjà joué. Trempée et excitée à souhait, j’attendis patiemment l’arrivée de mon professeur, agenouillée et les yeux couverts d’un loup. Une fois les yeux libérés je la (re)découvris, vêtue d’une robe en cuir noire.
Et très rapidement, j’eu une envie bestiale de la baiser. Elle me prit en main, avant que je ne la prenne en main moi-même. Nous commencions nos jeux.. Nous embrassions, mordions, c’était à celle qui allait baiser l’autre. Esmeralda me fit un apprentissage pratique avec des ateliers, mais nos jeux allaient bien au-delà.
Et nous étions toujours sous bonne surveillance… Mon Maître nous regardait prendre notre plaisir, nous entendait gémir, il sentait notre envie l’une pour l’autre… Et bien évidemment, nous ne restions pas longtemps seules. Maître Bertrand nous rejoignit pour un trio exaltant et rempli de volupté.
Ce soir là, ma leçon a bien été apprise.
Crédits Photos : © Gang Bang à Paris