Last Updated on 5 ans by Bertrand Bret
Une fois n’est pas coutume, ce couple Franco-Britannique nous contacta via notre compte Facebook. Nous les rencontrâmes donc le 10 mai 2018. K, trentenaire sexy et son cocu, quadragénaire élégant. Encore une belle rencontre, dans un bel endroit. Puisque leur pied à terre Parisien était la Maison Souquet. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas la particularité de l’endroit, sachez que c’était en 1905, une maison des plaisirs. Le scénario imaginé était pervers à souhait. K en French maid pour un groupe d’hommes jouant aux cartes. Notre hotwife, disponible pour servir à table, avec les mains baladeuses, se devant de récompenser chaque gagnant par ses services sexuels.
Au sommaire de cet article
Une rencontre préalable autour du bar de l’hôtel
Comme à mon habitude, j’étais le premier sur place, et Nicolas et Samba ne tardèrent pas à me rejoindre. Je reçus un texto du cocu, me suggérant de nous retrouver au bar de l’hôtel. Pour nous le plus dur était de ne pas éveiller les soupçons des barmaids. L’homme se présenta à nous, élégant, il ne déparait pas dans ce cadre imaginé par Jacques Garcia.
Nous attendions le feu vert de la belle Anglaise, qui finissait de se préparer. L’occasion pour nous de parler de l’esprit de notre groupe, de leurs rencontres, enfin, du libertinage Français… Le texto libérateur parvint au cocu. Nous fûmes d’abord deux, le photographe et votre serviteur, à monter les escaliers qui nous menaient à la suite. Puis le cocu partit chercher les deux autres libertins. Le tout avec un naturel et une discrétion de circonstance.
Le tarot permit à K de faire valoir ses services sexuels
Le plus dur ne consista pas à réunir mes complices libertins, même un jour férié. Mais à trouver un jeu de cartes adéquat, connu de tous. Enfin et surtout simple à utiliser. Mon choix se porta donc sur un jeu de tarot. Je demandai à Nicolas d’en apporter un, le cocu en fit autant. Mais notre French maid ne tarda pas à se familiariser avec ces règles.
Ce qui d’ailleurs avait l’air de l’amuser au plus haut point. Nul besoin de vous dire que ce soir là, je n’étais pas en veine. En effet, je ne gagnai aucune des parties jouées. Mais nous étions montés découvrir une bien belle Anglaise et ses services sexuels. Et c’était bien cela le plus important.
Les services sexuels de la belle trentenaire
Le premier à gagner fut Nicolas qui se laissa longuement embrasser sous l’œil du cocu, visiblement excité. Celui-ci vit la main de l’épouse caresser la bosse imposante, qui se dessinait dans le pantalon de notre ami. Ce qui eut le don de provoquer l’érection du mari. Mais K, espiègle à souhait, en profita pour changer de place et se plaça au milieu de Nicolas et Samba.
Lequel gagna la deuxième partie de cartes, haut la main. Il eut droit, lui aussi, aux mains baladeuses de K. Ensuite elle sortit les sexes des pantalons, et les branla énergiquement, avant de les sucer l’un après l’autre. En face du triptyque pornographique, je me trouvai voyeur. Tout comme le cocu du reste, qui n’avait pas choisi sa place par hasard.
La levrette comme récompense collective
Je décidai de me lever et d’entraîner la belle Anglaise vers l’imposant lit. Naturellement, celle-ci offrit sa délicieuse croupe aux assauts de Nicolas. Je me demande encore, avec amusement, en écrivant ses lignes, comment un garçon si fin peut-il être doté d’un sexe si long… Mais n’est-ce pas là le charme des mystères de la nature…
K minauda, mais demanda à plusieurs reprises à notre homme, de ralentir le rythme de l’énergique coït. Elle changea à plusieurs reprises de position. Et en profita pour avoir le sexe du cocu en bouche, pendant que celui de mon partenaire de jeu, continuait à la pénétrer. Il transpirait de cette soirée un parfum particulier, elle me rappelait en tout point la soirée passée avec Isadora.
La double pénétration où humiliation du cocu
Vous vous demandez sans doute pourquoi, après tant d’années passées à organiser, la lassitude ne me gagne pas. Le secret de ma longévité tient en une recette éprouvée : Avant, pendant et après. Mon plaisir consiste à échanger et préparer la soirée, à m’y amuser pendant, quel qu’en soit la manière. Enfin à relater cette aventure au travers de cet article.
En l’occurrence, mon plaisir y est décuplé à l’idée d’imaginer le cocu lisant mon récit. Mais surtout qui se rappellera cette magistrale double pénétration où K accueillit son sexe en elle, et celui de Nicolas au fond de son séant. Elle y prit semble-t-il beaucoup de plaisir. Les services sexuels de K ravirent ce soir-là tout le monde
Le collier au cou, le sperme sur le visage
Le cocu avait prit soin de placer le collier au cou de K, soumise. Mais comment pouvait il se sentir encore plus humilié qu’il ne l’était déjà ?. Tout simplement, en découvrant le visage de l’épouse modèle, copieusement maculé de sperme. Je la plaçai sur le dos, elle garda la bouche ouverte.
Et les jets de sperme virent les uns après les autres inonder son délicat visage. Élégants jusqu’au bout, nous prîmes soin de régler au cocu, les consommations prises au bar. Lequel y alla de son compliment, lui qui avait déjà connu une soirée payante, trouva la nôtre bien plus conviviale. Notre recherche est le plaisir, et cela n’a pas de prix…
Crédits Photos : © Gang Bang à Paris