Awa porte une longue jupe plissée dont la transparence dévoile haut les jambes, jusqu’à une mini sous-jupe. Elle a chaussé des bottines à talons hauts. Ses jambes gainées de bas tiennent seuls. Sous son chemisier, le soutien gorge porte-seins, laisse les tétons apparents.
Elle a passé un verrnis noir sur ses ongles. Ses longs cheveux noirs détachés sur les épaules. Tout à l’heure ils se déploieront comme une auréole souple sur le drap blanc où, allongée, et qu’ autour d’elle se déploieront des sexes d’hommes. Awa souhaite des hommes.En somme, elle a soif de pluralité masculine.
La mise en bouche
Une veste en fourrure, l’automne arrive ce soir là. Puis le taxi nous dépose face à la porte cochère du bel immeuble dans le quartier chic où nous attend le premier gang bang d’Awa.
Bertrand ouvre à notre coup de sonnette. Nous entrons dans un bel appartement, où un coin s’offre à nous, avec quelques fauteuils, un canapé, une table basse, des verres à champagne. Deux autres hommes se lèvent et nous saluent. Les promesses sont tenues: les lieux sont avenants, les hommes respectueux, et une première bouteille de bon champagne ouverte.
La soirée s’engage par une conversation légère et cordiale, Awa se trouvant au centre de quatre hommes qui la regardent furtivement, et apprécient en connaisseurs ses gestes, sa façon de porter le verre de champagne à sa bouche. Le propriétaire des lieux vient saluer. Il ne participera pas ce soir, il reviendra un peu plus tard observer les corps mâles s’affairant autour du corps offert de la femme.
Awa joue avec les hommes, les débuts de sa pluralité masculine
Au bout de quelques verres, elle se lève, prend un petit sac, va dans la salle de bain attenante à la chambre où se tiendront les ébats.
Elle revient, toujours perchée sur ses bottines hautes, seulement vêtue d’une jupette noire ultra courte, mettant en valeur ses immenses jambes, d’un string et du soutien gorge ouvert où les tétons sont maintenant longs, gorgés de désir.
Cette tenue directement suggestive fait qu’elle a à peine le temps de se resservir en champagne qu’un participant s’agenouille entre ses cuisses et commence à la lécher. Elle se cabre pour que la langue puisse bien la travailler, tandis qu’un autre participant fourre sa queue dans sa bouche. Awa, lécheuse et léchée, pompe le membre qui lui est offert.
Vive la pluralité masculine !.
Le gang bang de la sulfureuse Awa
Le décor change pour les quelques deux heures qui suivent, puisque tout le monde se déplace dans la chambre. Principalement meublée d’un très grand lit, où Awa s’offre volontiers aux trois bites qui s’activent. Auxquelles se joint régulièrement la mienne, dans sa bouche ou son sexe.
Elle chevauche, elle est chevauchée, elle se met à quatre pattes pour être prise en levrette. Elle adore être prise en levrette. Une fois le string enlevé, la jupe ultra courte roulée autour de la taille et le soutien gorge comme un trait noir sous ses petits seins bien dressés. Il n’y a plus d’obstacle pour que les langues, les queues et les mains la parcourent dans tous les sens.
J’incite un des participants à lui sucer un sein pendant que je m’occupe de l’autre. Alors qu’une queue la fourrage activement.En outre, une double vaginale s’organise pendant qu’elle me suce.
Awa joue avec les hommes
Bertrand regarde, touche, s’assure que tout va bien. Et Awa gémit de plaisir, frôle à plusieurs reprises l’orgasme, surtout prise en levrette debout. Ainsi, penchée et appuyée sur un amoncellement de coussins, offrant ainsi sa croupe aux hommes qui se succèdent derrière elle. Quelques claques bien senties sur les fesses augmentent les gémissements. Les oiseaux tatoués sur son corps frémissent leurs ailes.
Son grand corps blanc va et vient selon les rythmes proposés. D’ailleurs, un des invités me dira, qu’il avait particulièrement apprécié son engagement, son ardeur à onduler, à s’offrir. Finalement, la séance s’est terminée par les lourdes éjaculations des bites sur son corps. Comme l’illustre Awa se massant le ventre et les seins avec le sperme généreusement répandu.
La conclusion de cette première pluralité masculine
Tout le monde s’est retrouvé pour une dernière coupe de champagne. De cette façon, chacun reprendra ses distances, presque comme si rien ne s’était passé.
Une soirée extrêmement fluide et respectueuse, protégée, puisque toute pénétration ou fellation protégée. Tout autant attentive, puisque Awa ne souhaitant pas ce soir là d’anal, cette question fut vite évacuée.
Sur le chemin du retour, elle me susurra dans l’oreille qu’elle aimait vraiment la queue. Après cela, je me demande maintenant s’il ne serait pas intéressant de passer à cinq hommes. Pour le moment Awa ne dit pas non. Elle apprécie d’être la reine de bites s’activant au service de sa jouissance. Nous pouvons donc l’écrire ici : « elle sera bientôt la reine de la pluralité masculine. »
Texte du mari candauliste.
Crédits Photos : © Gang Bang à Paris